Depuis le putsch bolchevique d’octobre 1917 en Russie, un nouveau type de militant mine les sociétés : les stalino-gauchistes. Habités par le déni passionné des dévastations communistes et renouvelant sans cesse leur chantage aux bons sentiments, ils instillent partout leurs réflexes totalitaires. On les retrouve aujourd’hui dans ce que l’on entend par « wokes » ou « progressistes », militants du genre ou pro-immigration, islamo-gauchistes ou écologistes radicaux, néo-féministes ou anti-flics. Pour comprendre leur dynamisme et leur audience, il faut se plonger dans leur généalogie historique, examiner leurs ressorts idéologiques et leurs procédés politiques, mettre à jour leurs motivations authentiquement religieuses et même millénaristes.
Les aspects les plus saillants de ces mouvances lugubres sont décortiqués et dénoncés par Guy Fargette depuis quarante ans, érudit autodidacte, militant inlassable de l’émancipation et voix méconnue dans le débat public qu’il serait urgent de sortir de la confidentialité.
Première partie (1er mars 2024)
Documents évoqués lors de l’émission
Sommaire du bulletin « Les Mauvais jours finiront… » (1986-1993)
Documentaire : « Simon Leys, l’homme qui a déshabillé Mao » (Public Sénat, 3 février 2024 : documentaire sur l’oeuvre salutaire de Simon Leys)
Lectures complémentaires
Seconde partie (15 mars 2024)
Documents évoqués lors de l’émission
Lectures complémentaires
Critères de comparaison entre les principaux régimes totalitaires